Compagnie aime l'air

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Photo © Christophe Charpenel

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Biographie

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Avertissement

Avant toute prise d’information sur le sujet, merci de bien vouloir respecter la règle suivante : 

« Être libre par essence, il convient de n’enfermer Andy Emler dans aucune catégorie, case ou taxinomie musicales que ce soit ».

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Andy Emler est né et a grandi dans le XVIe arrondissement de Paris. Il aurait pu mal tourner…

On le dit jazzman, il répond : « compositeur ». Mieux : « créateur » ! Naît musicalement en pleine ère post-moderne, Andy Emler n’a cure des étiquettes. Compositeur, catalyseur d’enthousiasmes, initiateur de rencontres, arrangeur, pédagogue, improvisateur, jazz, classique, rock, musiques dites traditionnelles, pianiste, organiste, etc. : Andy Emler est tout cela à la fois, en tout cela a la foi.

 

Terrorisé par une professeure de piano à la pédagogie archaïque dans sa prime jeunesse, il est sauvé pour la musique par Marie-Louise Boellman-Gigout, une pleine héritière de « l’âge d’or » de la musique française – celle des Fauré, Ravel, Debussy, Duruflé. Elle lui redonne goût au piano grâce au jeu collectif, en forme de déchiffrage à deux pianos. En bonne organiste, elle attise aussi le goût spontané pour l’improvisation du jeune Andy.

Son frère plus âgé l’amène cependant en des voies moins éthérées. Andy Emler devient un enfant du rock dont il joue la musique d’oreille. Premiers groupes, premiers claviers électriques, premiers concerts avec apothéose finale en bagarre générale – sans lui, qui range son matos, une étrange habitude qu’il entretiendra jusqu’à la fin du XXème siècle, s’étant fait spécialiste des claviers.

Il atteint sa majorité en musique avant ses dix-huit ans quand un ami lui fait découvrir une musique rock avec un étrange préfixe : « jazz ». Une énergie comparable au rock, des compositions élaborées comme dans la musique écrite occidentale, de l’improvisation à la forte interaction : cette musique enregistré par Return to Forever, Mahavishnu Orchestra et autre Weather Report a tout pour lui plaire. 

Sur les conseils de Marie-Louise Boellman-Gigout, il tente et réussit le concours d’entrée aux classes d’écriture du Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris. Comme les majuscules l’indiquent, c’est du sérieux ! On ne rigole pas avec l’harmonie ni le contrepoint. Il acquiert à peu près en même temps une discipline, une amitié et un avenir. Il fait en effet la connaissance d’Antoine Hervé avec qui il réalise son premier disque, Horizons, pour piano et percussions à clavier – instruments qu’il apprend en trois semaines. Ayant intégré la classe d’orchestration de Marius Constant, celui-ci recommande Andy Emler à Jean-Louis Vicart, directeur du Conservatoire de Juvisy-sur-Orge, à la recherche de pédagogues ouverts d’esprit. Une classe d’improvisation est créée, qui permet à Andy Emler d’imaginer mille solutions pédagogiques avec pour seul mot d’ordre : « créativité », un sacerdoce qui ne le quittera plus. A la même période, repéré au Concours de la Défense en duo avec Antoine Hervé, il intègre le CIM comme enseignant. Sans même s’en être rendu-compte, Andy Emler fait dorénavant profession de musicien.

De ses recherches pédagogiques, il tire des fruits pour sa propre pratique. En témoigne le premier album sous son nom, Lightnin’, au sein d’un quintette de jeunes comme lui talentueux et chevelus (il adoptera le cri de ralliement « chauve power » plus tard).

1986 le consacre déjà musicien incontournable de notre Hexagone : il est recruté par François Jeanneau pour tenir les claviers électriques de la première mouture de l’Orchestre National de Jazz. Son chef lui passe également commande de plusieurs partitions. Des amitiés se nouent également, qui se maintiendront souvent sur de longues années. 

Reconnu pour ses qualités d’accompagnateurs, d’improvisateur, de compositeur, il tourne dans le monde entier avec des maîtres du jazz français tels que François Jeanneau et Michel Portal, dont il sera plusieurs années le pianiste-directeur artistique attitré. 

1989 : il est temps pour lui de créer un grand orchestre à son image : généreux, taquin, enthousiaste, imaginatif. Andy Emler choisit de lui donner pour nom le MégaOctet (le « O » majuscule n’apparaîtra qu’au XXIème siècle), en lien avec l’unité de mesure informatique qui s’affole à la même époque. Le succès est immédiat, le disque et futurs albums remportant de nombreux prix. 

 

Toujours très engagé dans ses pratiques pédagogiques, après un second album il laisse cependant le MégaOctet pour un temps (il ne le sait pas encore) pour mieux s’engager comme co-directeur de la Scène et Marnaise de Création Musicale entre 1994 et 1999, collectif à plusieurs têtes pensantes qui créent le Putain d’Orchestre Modulaire (POM), une grande formation d’où émergent une nouvelle génération de musiciens-prêts-à-tout, Thomas de Pourquery et Médéric Collignon en tête, futurs membres du MégaOctet.. Sa grande implication au sein de ces structures ne l’empêche pas d’accepter de devenir le pianiste et directeur artistique de Trilok Gurtu (tournées mondiales, enregistrement de plusieurs albums avec des musiciens comme David Gilmore ou Bill Evans, Chris Minh Doky, Marc Feldman), ni de jouer avec des « pointures » telles que Dave Liebman avec qui il entretient un partenariat musical et spirituel (dans le sens non religieux du terme) au long court. La plongée dans l’improvisation « totale » – expression à laquelle il recourt souvent (cf. son album E Total, tout en mi) –, sans ségrégation vis-à-vis de la dissonance ni de la consonance, l’engage aussi dans des aventures en duo, avec le fidèle Philippe Sellam (un perpétuel de l’Académie MégaOctet) ou d’autres plus ponctuelles mais toujours riches d’inouïs et d’enseignements. 

 

Après la fin du POM, Andy Emler reforme le MégaOctet. Pour l’occasion, Andy Emler trouve ses rythmiciens idoines : Claude Tchamitchian et Eric Echampard. Avec eux, outre le MégaOctet, il se produit en trio. Les deux formations durent toujours depuis l’an 2000, phénomène si rare qu’il convient de le souligner. Chaque programme approfondit et affine un art du plaisir collectif, un équilibre toujours recommencé entre improvisation et écriture, un autre entre direction et prise d’initiative des membres de la formation. Django d’or 2006, Victoire de la musique 2008 puis 2010, Andy Emler cumule les récompenses qu’il accepte non comme un matelas confortable où il s’assoupirait mais telle une planche à clous qui exige de maintenir en éveil sa conception et la concentration de son art. Après la parution d’A Moment For…, Andy Emler a ainsi pu déclarer : « avec cet album, je ne fais que commencer » ! 

 

A son exemple, surtout ne pas le restreindre à ces formations – ni au jazz –, donc ! Andy Emler n’aime rien moins que les brassages, les mixages, les croisements, les greffes. Qu’on en juge plutôt : 

– il navigue fréquemment en eaux contemporaines : enregistrement d’un concerto de Marius Constant, compositions pour les Percussions de Strasbourg ou relation longue avec l’ensemble Ars Nova.

– depuis 2009, il se produit sur les grandes orgues européens, respectueux de la tradition du pape des instruments tout en l’entraînant en des territoires que l’on ne lui soupçonnait pas, en solo comme avec d’autres musiciens : en trio, avec les saxophonistes Dave Liebman, Guillaume Orti, Laurent Dehors (clarinettes en plus des saxophones), ou le joueur de kora Ballaké Sissoko.

– fidèle à sa philosophie socio-musicale, il intervient et compose régulièrement pour les orchestres d’harmonie, amateurs ou non.

– Musicien de scène, musicien pour la scène, il a produit la musique du spectacle Ravel, en mars 2013, sur le texte de Jean Echenoz, une mise en scène d’Anne-Marie Lazzarini. A cette occasion, il reçoit le Prix du meilleur compositeur de musique de scène 2013, décerné par le syndicat de la critique.

– le compositeur ne se donne aucune frontière : orchestre symphonique, musique de chambre, chanson pop ou pas… Ces créations, il y plonge à chaque fois avec une compétence identique, une même générosité.

Avec le temps, son engagement comme citoyen du monde s’affirme. Avant A Moment for…, en 2017 il réalise Running Backwards avec son trio et Marc Ducret – un ami chevelu de sa jeunesse (Lightnin’) devenu maître-guitariste(-bonze) – qui clame sa désapprobation du monde tel qu’il va. Sa conception des relations humaines au profit d’un monde meilleur – osons les grands mots pour faire reculer les grands maux –, Andy Emler l’applique depuis des années et bientôt 10 albums au sein de son MégaOctet, ce dont témoigne le documentaire Zicocratie réalisé par Richard Blois (2013) au cours de la création du répertoire de E Total, en 2012.


Ce n’est que le début de l’aventure !

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Rappel de la règle initiale et unique : 

« Être libre par essence, il convient de n’enfermer Andy Emler dans aucune catégorie, case ou taxinomie musicales que ce soit ».

[/et_pb_text][/et_pb_column][/et_pb_row][et_pb_row column_structure=”2_5,3_5″ disabled_on=”on|on|on” _builder_version=”4.16″ disabled=”on” global_colors_info=”{}”][et_pb_column type=”2_5″ _builder_version=”4.16″ global_colors_info=”{}”][et_pb_image src=”https://www.andyemler.eu/wp-content/uploads/2019/10/WEB_4058.jpg” _builder_version=”4.16″ global_colors_info=”{}”][/et_pb_image][et_pb_text _builder_version=”4.16″ custom_margin=”-25px|||||” global_colors_info=”{}”]Photo © Sylvain Gripoix[/et_pb_text][/et_pb_column][et_pb_column type=”3_5″ _builder_version=”4.16″ global_colors_info=”{}”][et_pb_text disabled_on=”on|on|on” _builder_version=”4.16″ disabled=”on” global_colors_info=”{}”]

Biographie

Andy Emler, compositeur, pianiste, catalyseur d’enthousiasmes, initiateur de rencontres, arrangeur, passionné par l’improvisation, est un homme d’inventions.

Après les classes d’écritures, harmonie, contrepoint, fugue (Prix de contrepoint 1981 – variation pour orgue dans le style de J.S. Bach et la classe d’orchestration avec Marius Constant – au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris) et les bals du samedi soir (rock, pop), il se lance dans de multiples expériences avec des musiciens tels que : Antoine Hervé, Michel Portal, François Jeanneau, Woody Shaw, Trilok Gurtu…

Il crée son laboratoire personnel, le MegaOctet en 1989 avec 8 des “plus flambeurs improvisateurs” de la génération des années 80 qui obtient le Django d’Or de la meilleure formation de jazz français 1992. Cette formation marquera fortement le paysage musical du début des années 90.

Entre 1994 et 1999, il devient co-directeur de la Scène et Marnaise de Création Musicale, et partage l’aventure collective du POM, big band à géométrie variable.

En 2000, il remonte le MegaOctet, s’installe en résidence jusqu’en juin 2003 à l’Espace Daniel-Sorano de Vincennes avec la Compagnie aime l’air, dont il est l’initiateur avec Thierry Virolle. Il crée “Pop Unit 2000“ avec le MegaOctet, deux danseurs et des images vidéo.

Parallèlement il se produit en duo avec Philippe Sellam, en trio avec Claude Tchamitchian et Eric Echampard. Il travaille régulièrement avec Ars Nova et Pascal Contet pour la musique contemporaine et, bien-sûr, avec le MegaOctet.

Par ailleurs il est le compositeur de multiples commandes d’écriture pour tous les formats et formules d’orchestres professionnels, ou mêlant musiciens professionnels et amateurs.

 

Andy Emler reçoit le Django d’or “Sacem“ de la création 2006.

Le Andy Emler MegaOctet reçoit la Victoire du Jazz 2008 dans la catégorie “artiste ou formation instrumentale française de l’année“ et le Django d’Or 2008 dans la catégorie “spectacle vivant Spedidam“

Andy Emler reçoit en 2010, la Victoire du Jazz 2010 “album instrumental de l’année“ pour “Crouch, touch, engage“  et de nouveau le Django d’or, sous la dénomination « musicien confirmé »

Depuis la toute fin 2009, Andy Emler donne des concerts au grand orgue, sur des partitions personnelles et l’improvisation, c’est ainsi qu’en juillet 2010 il se produit au Festival d’Aix en Provence, cathédrale Saint Sauveur avec Guillaume Orti (saxophone) et le joueur de kora, Ballaké Sissoko…

Le MegaOctet tourne en France et à l’étranger, le trio Emler, Tchamitchian, Echampard découvre la Grande Bretagne, et des concerts au grand orgue “classique“ en duo avec Laurent Dehors à la clarinette conquièrent de nouveaux territoires musicaux et publics…

Mars 2013, création du spectacle “Ravel“ sur le texte de Jean Echenoz, une mise en scène d’Anne-Marie Lazzarini, spectacle dont il écrit la musique, qu’il joue sur scène, et obtient le Prix du meilleur compositeur de musique de scène 2013, décerné par le syndicat de la critique.

Andy Emler est fait chevalier des arts et des lettres en 2014.

En 2017, le Prix coup de Cœur Charles Cros est attribué à l’album Running backwards, le quartet avec Marc Ducret, Eric Echampard et Claude Tchamitchian.

Trop souvent « étiqueté » musicien de jazz, Andy Emler compose aussi bien pour des orchestre de musique contemporaine que des orchestre symphonique, avec la même générosité, candeur et lyrisme.

Andy Emler est un musicien sans frontière, ayant soif de rencontres et d’échanges.

Photo © Sylvain Gripoix

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Andy Emler

la bioremix

 

Andy Emler, compositeur, pianiste, catalyseur d’enthousiasmes, initiateur de rencontres, arrangeur, passionné par l’improvisation, est un homme d’inventions.

Après les classes d’écritures, harmonie, contrepoint, fugue (Prix de contrepoint 1981 – variation pour orgue dans le style de J.S. Bach et la classe d’orchestration avec Marius Constantau Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris) et les bals du samedi soir (rock, pop), il se lance dans de multiples expériences avec des musiciens tels que : Antoine Hervé, Michel Portal, François Jeanneau, Woody Shaw, Trilok Gurtu

Pédagogue par goût de la transmission du désir et du plaisir depuis des siècles, compositeur (ONJ 86, La Bande à Badault, WDR Big Band…), il sait briller dans les formations de toutes tailles.

Il crée son laboratoire personnel, le MegaOctet en 1989 avec 8 des “plus flambeurs improvisateurs” de la génération des années 80 qui obtient le Django d’Or de la meilleure formation de jazz français 1992. Cette formation marquera fortement le paysage musical du début des années 90.

Entre 1994 et 1999, il devient co-directeur de la Scène et Marnaise de Création Musicale, et partage l’aventure collective du POM, big band à géométrie variable.

En 2000, il remonte le MegaOctet, s’installe en résidence jusqu’en juin 2003 à l’Espace Daniel-Sorano de Vincennes avec la Compagnie aime l’air, dont il est l’initiateur. Il crée “Pop Unit 2000“ avec le MegaOctet, deux danseurs et des images vidéo.

Parallèlement il se produit en duo avec Philippe Sellam, en trio avec Denis Badault et Emmanuel Bex, ou avec Claude Tchamitchian et Eric Echampard. Il travaille régulièrement avec Ars Nova et Pascal Contet pour la musique contemporaine et, bien-sûr, avec le MegaOctet.

Par ailleurs il est l’auteur (très demandé) de multiples commandes d’écriture pour tous les formats et formules d’orchestres professionnels, ou mêlant musiciens professionnels et amateurs.

En novembre 2003 paraissent “Tee time“ du Emler, Tchamitchian, Echampard trio (la presse tend l’oreille : “Emoi“ Jazz Magazine, **** Jazzman…), et “Bouts de souffles“ en duo avec Pascal Contet.

Andy Emler et la Compagnie aime l’air sont en résidence à L’apostrophe, Scène nationale de Cergy-Pontoise et du Val d’Oise de septembre 2004 à juin 2007.

Création pour le MegaOctet avec Michel Portal en novembre 2005 à Jazz au fil de l’Oise.

Concerts du MegaOctet et du trio Emler, Tchamitchian, Echampard en France, en Suisse et dans les pays baltes notamment… On commence à le demander pour des concerts en solo.

En octobre 2004, sortie de “Dreams in tune“, nouveau cd du MegaOctet, couvert d’éloges par la presse, le disque est nommé aux Victoires du Jazz 2005 au titre d’album français jazz de l’année.

Mars 2006, sort “A quelle distance sommes-nous ?“, second cd du trio Emler, Tchamitchian, Echampard. La presse a mis les deux oreilles : “ƒƒƒƒ“ Télérama, “Emoi“ Jazz Magazine etc…

00 reçoit le Django d’or “Sacem“ de la création 2006.

En mars 2007 sortie de “West in peace“, nouvel album du MegaOctet. Il sera encensé par la presse et les professionnels :

“Prix du meilleur disque français 2007“ de l’Académie du Jazz

“Emoi Jazz Magazine de l’année 2007“

“Choc Jazzman de l’année 2007“

 

En avril 2007 création de “Childhood journeys“, une partition d’A.E pour le MegaOctet et les Percussions de Strasbourg. Enregistrement par France Musique et diffusé dans l’UER européen. Commande d’Etat.

En mai 2008 sortie un DVD d’un concert enregistré au New Morning en septembre 2006 avec le trio E,T,E, le MegaOctet et Marc Ducret en invité.

Le 16 mai 2008, Andy Emler a fêté ses 50 ans à la Coupole, scène nationale de Combs-la-Ville avec la reprise de “Childhood journeys“, rassemblant le MegaOctet, les Percussions de Strasbourg, Elise Caron et Michel Portal

Andy Emler et le MegaOctet sont :

Victoire du Jazz 2008 dans la catégorie “artiste ou formation instrumentale française de l’année“

Django d’Or 2008 dans la catégorie “spectacle vivant Spedidam

En novembre 2008, est sorti “For better times“, album solo pour piano multiples. Une réussite saluée par la presse pour sa profondeur et sa singularité musicales.

Au cours de l’année 2009 seront fêtés les 20 ans du MegaOctet. Le 30 juin 2009, “Childhood journeys“ avec les Percussions de Strasbourg est donné à la salle Pleyel à Paris après Besançon le 25 juin.

En avril 2009, le trio Emler, Tchamitchian, Echampard réalise une seconde tournée en Baltique, le MegaOctet reçoit un accueil magnifique en Norvège, en Estonie, en Finlande.

Le 23 juin 2009 paraît, chez Naïve, “Crouch, touch, engage“ nouvel album du MegaOctet, enrichi d’un DVD d’un concert enregistré en septembre 2008 au Triton des Lilas. D’entrée le disque reçoit un “Emoi“Jazz Magazine et un “Choc“ Jazzman !

Les éloges de la Presse sont unanimes dans le Monde, les Echos, Libération.fr, le Süddeutsche Zeitung, le Helsingin Sanomat, les Inrockuptibles… Le MegaOctet tourne en France, en Allemagne, en Autriche, en Belgique et en Angleterre.

Andy Emler est en résidence dans les Pays de Loire, en 2009, et à la Fondation Royaumont 2009/2011 avec de nombreux projets dont la création “Dionysos à Royaumont“ le 10 octobre 2009.

En novembre 2009, “Crouch, touch, engage“ reçoit un “Choc Jazz Magazine/Jazzman pour l’année 2009“ !

Enfin il est parmi les choix “Disques de jazz de l’année 2009“ des quotidiens Le Monde et Libération.

Début 2010 il reçoit le “Choc des lecteurs 2009“ de Jazz Magazine.

Dans le cadre de la résidence de Royaumont, il compose et dirige une création “Du Slam à l’Atlas“ pour 5 solistes du MegaOctet et 5 musiciens/chanteurs marocains du Maroc, qui sera donnée en France et au Maroc en 2010 et 2011.

Andy Emler a reçu, le 13 juillet 2010, la Victoire du Jazz 2010 “album instrumental de l’année“ pour “Crouch, touch, engage“ !

Depuis la toute fin 2009, Andy Emler donne des concerts au grand orgue, sur des partitions personnelles et l’improvisation, c’est ainsi qu’en juillet 2010 il se produit au Festival d’Aix en Provence, cathédrale Saint Sauveur avec Guillaume Orti (saxophone) et le joueur de kora, Ballaké Cissoko

Le 27 novembre 2010, Django d’Or 2010 “musicien confirmé“ ( !) pour Andy Emler MegaOctet/“Crouch, touch, engage“.

En 2011, le MegaOctet tourne en France et à l’étranger, le trio Emler, Tchamitchian, Echampard découvre la Grande Bretagne, et des concerts au grand orgue “classique“ en duo avec Laurent Dehors à la clarinette conquièrent de nouveaux territoires musicaux et publics…

En mai Andy Emler sort “Pause“ disque enregistré à l’orgue Cavaillé-Coll de la Fondation Royaumont avec des musiciens du MegaOctet. Choc Jazz Magazine/Jazzman.

Les 3, 4 et 5 novembre 2011, création du nouveau programme du Andy Emler MegaOctet au Triton – Les Lilas, suivi d’un concert au Tampere Jazz Happening (Finlande) et de l’enregistrement de ce répertoire au studio La Buissonne. La sortie du nouveau CD du MegaOctet est prévue pour mai 2012.

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